James McIsaac

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James McIsaac
Biographie
Naissance
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Décès
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Nationalité
canadienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
IllustrateurVoir et modifier les données sur Wikidata

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James McIsaac (né le à Sainte-Adélaïde-de-Pabos[1], et décédé le à Montréal[2]) est un des illustrateurs les plus connus du Québec durant l'entre-deux-guerres[3]. Souvent présenté comme un pionnier de l'illustration pour la jeunesse au Québec, il a réalisé des dessins et des gravures pour de nombreuses œuvres de fictions (contes, romans, bandes dessinées) ou des séries historiques connues[2],[4]. Il a illustré des œuvres comme Chez nos ancêtres de Lionel Groulx, une édition en bandes dessinées du Jean Rivard d'Antoine Gérin-Lajoie et de nombreux romans de Marie-Claire Daveluy édités à la Librairie Granger frères[5]. Il a aussi été caricaturiste pour le journal montréalais Le Nationaliste, dont la caricature est devenue l'image de marque et a fréquemment inspiré les éditoriaux du célèbre pamphlétaire Olivar Asselin[6].

Notes et références

  1. ↑ La municipalité de Sainte-Adélaïde-de-Pabos est un ancien village correspondant de nos jours au quartier Pabos de la ville de Chandler. Fiche de Sainte-Adélaïde-de-Pabos sur le site de la Commission de toponymie du Québec.
  2. ↑ a et b Françoise Lepage, « James McIsaac, illustre et inconnu (1889-1970) », Canadian Children's Literature, no 64, 1991, p. 26-39.
  3. ↑ Suzanne Pouliot, Judith Saltman, Gail Edwards, « L’édition pour la jeunesse », Histoire du livre et de l'imprimé au Canada, dirigé par Carole Gerson et Jacques Michon, vol. 3 : « de 1918 à 1980 », Montréal, Les Presses de l'Université de Montréal, 2007, p. 232.
  4. ↑ Francine Sarrasin, « James McIsaac : les débuts de l’illustration de livres pour la jeunesse », Lurelu, vol. 26, no 3, hiver 2004, p. 85-87.
  5. ↑ Dictionnaire des auteurs de langue française en Amérique du Nord, Montréal, Fides, 1989 (articles « Groulx, Lionel », « Daveluy, Marie-Claire » et « Gérin-Lajoie, Antoine »).
  6. ↑ Hélène Pelletier-Baillargeon, Olivar Asselin et son temps, vol. 1 : « Le militant », Montréal, Fides, 1996, p. 290
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