Diane Mazloum

Cet article est une ébauche concernant une écrivaine libanaise.

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Diane Mazloum
Biographie
Naissance
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ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
libanaise
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Domicile
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
RomancièreVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Manuel CarcassonneVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Prix France-Liban ()
Prix Amic ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Diane Mazloum est une femme de lettres franco-libanaise.

Biographie

Diane Mazloum est née à Paris en 1980 et a grandi à Rome. Elle commence des études d’astrophysique à l’Université Pierre et Marie Curie à Paris et se tourne ensuite vers l'art et le design à l’Université américaine de Beyrouth[1]. Elle vit à Paris depuis 2015[2], et était présente à Beyrouth lors de l'explosion du 4 août 2020 qui a ravagé la ville[3].

Son roman Une piscine dans le désert est nommé en 2020 pour trois prix littéraires, le Renaudot, le Femina et le Médicis[4].

Ouvrages

  • Nucleus en plein cœur de Beyrouth City, Éditions de la Revue Phénicienne, 2009 (ISBN 978-2-9138-7517-3).
  • Beyrouth, la nuit, Éditions Stock, 2014 (ISBN 978-2-2340-7753-9).
  • L'âge d'or, J-C Lattès, 2018 (ISBN 978-2-7096-6319-9).
  • Une piscine dans le désert, J-C Lattès, 2020 (ISBN 978-2-7096-6583-4).
  • Le musée national, Éditions Stock, 2022 (ISBN 978-2-2340-9224-2).

Ouvrages collectifs

  • Pourquoi j'écris, Éditions de la Revue Phénicienne, 2009 (ISBN 978-2-9138-7520-3).
  • Pour l'amour de Beyrouth, Fayard, 2020 (ISBN 978-2-2137-1817-0).
  • Bella Italia, Gremese, 2021 (ISBN 978-2-3667-7267-8).
  • La bibliothèque des écrivains, Flammarion, 2021 (ISBN 978-2-0802-5884-7).
  • Diaristes libanais, Les Moments littéraires, no 49, 2023, 252 p.

Prix et récompenses

Notes et références

  1. ↑ « Diane Mazloum en quête de sens », sur L'Orient littéraire.
  2. ↑ « Diane Mazloum, écrivaine : « Peut-être que cette destruction radicale de Beyrouth est notre ultime chance de changer “radicalement” » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne).
  3. ↑ « Diane Mazloum, Libanaise et cosmopolite », sur Le Figaro.
  4. ↑ Joséphine Hobeika, « Diane Mazloum face à « cette terre de frottements et de frictions, chaude, crue et vivante » », sur L'Orient-Le Jour, .

Liens externes

  • Ressource relative à la littératureVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Académie française (lauréats)
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
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    • WorldCat

Presse

  • Rachid Laïreche, « Diane Mazloum, Beyrouth «in» », sur Libération, .
  • Edgar Davidian, « Les bruits, les fureurs et les amours dans le Liban de Diane Mazloum », sur L'Orient-Le Jour, .
  • Christian Makarian, « Les cèdres coupés du Liban », sur Lexpress.fr, .
  • Danielle Laurin, « Le naufrage du Liban », sur Le Devoir, .
  • Pierre de Gasquet, « « Une piscine dans le désert » : frictions libanaises », sur Les Échos, .
  • Joseph Ghosn, « Se suicider doucement, la nuit, à Beyrouth », sur Le Nouvel Obs.
  • Frédéric Beigbeder, « Que personne ne dorme ! », sur Le Figaro.
  • Olivia de Lamberterie, « Mots - Beyrouth et le Liban », sur Télématin.
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