Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société
Demande de fusion décidée lors d'un débat d'admissibilité entre Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société et Mouvement antinucléaire.
La décision du débat d'admissibilité est indiquée dans section de Wikipédia:Fusion technique. Il s'agit d'une fusion technique et non d'un vote pour ou contre la fusion.
Vous venez d’apposer le modèle {{Fusion technique}}, suivez ces étapes :
1.
Apposez le bandeau sur l’(les) autre(s) page(s) à fusionner. Important : Le premier nom doit être celui de l'article proposé à la suppression (décision du débat d'admissibilité).
Utilisez ce texte :
{{Fusion technique|Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société|Mouvement antinucléaire}}
2.
Important : ajoutez une section dans Fusion technique.
Utilisez ce texte :
== [[Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société]] et [[Mouvement antinucléaire]] == Demande de fusion décidée lors d'un débat d'admissibilité [[Discussion:Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société/Admissibilité|(Voir la décision)]]. Ceci n'est pas une demande de vote pour ou contre la fusion (la décision a déjà été prise lors du débat d'admissibilité) mais uniquement une demande pour qu'un tiers effectue la fusion. ~~~~
Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société CARLOS
La Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société est une coordination occasionnelle de plusieurs groupes autonomes[1] qui, dans la nuit du « la nuit bleue antinucléaire », s'en sont pris à différentes infrastructures en lien avec l'énergie nucléaire.
Carlos envoie un communiqué [3] à Libération publié le 22 novembre dans lequel il déclare, entre autres, que combattre le nucléaire signifie « remettre en cause radicalement le capitalisme ». Les syndicats CFDT d'EDF-GDF et des chercheurs du centre atomique de Toulouse condamnent ces attaques[4]. En revanche, le CANT (Comité antinucléaire de Toulouse) trouve normal « qu’une partie du mouvement choisisse une forme plus spectaculaire de légitime défense »[5].
Actions
Liste non exhaustive des 23 actions[1] :
à Paris : siège d’EDF et société allemande de produits chimiques ;
à Alfortville : une entreprise travaillant pour la défense nationale ;
à Saint-Denis : un garage EDF ;
à Lyon : une usine de peinture, sous-traitante de l’industrie nucléaire et des garages EDF ;